La petite fille, pieds nus, en robe noire
Est seule dans la salle aux cents miroirs
Le silence emplit tout l'espace assourdi
La petite fille ouvre grand ses yeux gris
Fracassant les miroirs les corbeaux entrent
De leurs plumes noires entre eux ils s'éventrent
La petite fille crie, ferme ses paupières
S'entourant de ses bras, elle s'effondre par terre
Drame muet sans un son, sans un bruit
Envolés les oiseaux, ne restent que les débris
Le verre cassé a rayé la peau de l'enfant
Au sol s'enchevêtrent, mêlés, la peur et le sang
Les yeux aveugles, elle se tourne vers le ciel
Implorant que pour elle revienne le soleil
Mais la dure vérité est que rien ne l'atteint
Ni joie ni peine, personne pour lui tendre la main
La petite fille en robe noire se met à sourire
Pour chaque être humain, il existe un avenir
Elle se remet en chemin, elle va trouver le sien
Des larmes sur les joues, elle croit au lendemain
Est seule dans la salle aux cents miroirs
Le silence emplit tout l'espace assourdi
La petite fille ouvre grand ses yeux gris
Fracassant les miroirs les corbeaux entrent
De leurs plumes noires entre eux ils s'éventrent
La petite fille crie, ferme ses paupières
S'entourant de ses bras, elle s'effondre par terre
Drame muet sans un son, sans un bruit
Envolés les oiseaux, ne restent que les débris
Le verre cassé a rayé la peau de l'enfant
Au sol s'enchevêtrent, mêlés, la peur et le sang
Les yeux aveugles, elle se tourne vers le ciel
Implorant que pour elle revienne le soleil
Mais la dure vérité est que rien ne l'atteint
Ni joie ni peine, personne pour lui tendre la main
La petite fille en robe noire se met à sourire
Pour chaque être humain, il existe un avenir
Elle se remet en chemin, elle va trouver le sien
Des larmes sur les joues, elle croit au lendemain
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